Cherche serviteur pour salon de détente

Catégories : Aux pieds des femmes
il y a 7 ans

Tout a commencé par un message intitulé "Réponse à votre annonce" signé Messalina... C'est ainsi que cherchant une amie, j'ai trouvé un emploi. La réponse de Messalina était à la fois claire et efficace, demandant plus de précisions sur la nature de mon fétichisme, sur mes goûts et mes envies et l'idée que je me faisais de la servitude aux pieds d'une femme. Nous échangeâmes ainsi quelques messages sur un ton courtois, presqu'amical avant que "Messalina", qui s'appelait en réalité Laetitia ne m'invite à la rencontrer. Elle s'était présentée comme "chef d'entreprise" et se disait intéressée par un entretien "professionnel" approfondi afin de pouvoir apprécier concrètement ce que j'étais susceptible de lui apporter.

Laetitia était esthéticienne. Elle m'accueillit très aimablement dans son institut le jour du rendez-vous qu'elle m'avait fixé. C'était une jeune femme plutôt jolie, franche et dynamique. Elle me plut au premier regard et me mit immédiatement à l'aise par son affabilité et sa grande décontraction. Les présentations faites, après un mot de remerciement pour ma ponctualité, elle commença à m'expliquer les raisons pour lesquelles elle avait pris contact avec moi :

"Comme vous le voyez, mon salon n'est pas immense. Je mise donc sur une très grande qualité de services propre à satisfaire les clientes les plus exigeantes. Dans ce quartier, vous le devinez, j'ai affaire à des femmes influentes, riches, qui ont l'habitude d'être servies et savent parfaitement ce qu'elles désirent... Il s'agit d'une clientèle particulièrement difficile..."

Etrange entrée en matière...

"Je voudrais développer ma clientèle en proposant des prestations spécifiques de haut de gamme. Des services réservés à des femmes importantes ou spécialement exigeantes qui ne trouveront pas ailleurs ce que je voudrais leur offrir ici... Et pour cela, j'ai pensé qu'il me faudrait un homme un peu particulier, un homme capable de s'occuper impeccablement des pieds d'une femme..."

Parvenue à ce stade, elle m'adressa un beau sourire et se tut un instant.

Oui, je comprenais ce à quoi elle faisait allusion : ma jolie esthéticienne avait vraisemblablement besoin d'un pédicure et s'était dit qu'un fétichiste ferait bien l'affaire... J'étais tenté (quel fétichiste des pieds féminins ne l'aurait pas été ?) mais par honnêteté, je me devais de la mettre en garde. Je lui expliquai donc à contrecoeur que je ne me sentais pas capable de donner des soins de beauté convenables, faute de formation. Bien sur, j'adorais m'occuper des pieds d'une femme, mais une cliente exigeante ne pourrait manquer de remarquer mon inexpérience et l'image du salon ne pourrait qu'être altérée par mes inévitables maladresses... Elle m'interrompit au beau milieu de ma démonstration d'un joli geste de la main :

"Non, non, il ne s'agit pas du tout de ça ! J'ai déjà une collaboratrice professionnelle et une petite assistante qui font merveilleusement l'affaire. Je n'en entends d'ailleurs que des compliments... Non, j'envisage de vous faire tenir un rôle plus... particulier. Etes-vous docile ?"

Surpris, je hochai la tête "Docile ?"

"J'ai besoin d'un garçon très doux, très courtois. Très obéissant surtout. Vous m'avez écrit que vous aimeriez servir aux pieds d'une femme, n'est-ce pas ?"

J'avais du mal à comprendre où elle voulait en venir. Poussé par la curiosité, je confirmai mon penchant pour une certaine forme de servitude. Je commençai à redouter que les services spéciaux ne consistent en une servitude sexuelle...

Satisfaite de ma réponse, elle m'adressa un nouveau charmant sourire, se leva et me pria de la suivre.

Elle me guida vers l'arrière-boutique. Nous suivîmes un étroit couloir puis elle ouvrit une porte et me fit entrer dans un petit salon, une sorte de boudoir superbement aménagé. Des tapis magnifiques couvraient le sol, le mobilier était de qualité. Tout respirait le bon goût et le confort chaleureux d'un salon de club anglais. Laetitia prit place dans un profond fauteuil en cuir sombre, croisa les jambes et me regarda en souriant toujours, tandis que je restai debout face à elle, surpris et décontenancé. Je n'avais nul endroit pour m'asseoir, elle occupait l'unique fauteuil de la pièce...

"Mon salon privé. Comme vous pouvez le constater, il se prête assez mal aux conversations et aux mondanités, mais il n'est pas conçu dans cette optique... Maintenant, s'il vous plaît, déshabillez-vous."

Je dus vraiment prendre une mine effarée car elle éclata de rire

"Oh, vous n'êtes pas si timide ? A moins que vous n'ayez peur ? Allons, je ne vais pas vous

manger... Sauf peut-être si vous refusez de m'obéir... "

Honteux, incapable de comprendre ce qui m'arrivait et dans quel piège je me laissais entraîner, j'obtempérai et commençai à me dévêtir sous son regard amusé. Je fus enfin presque nu devant elle, n'ayant gardé que mon slip.

"Déshabille-toi entièrement."

Le tutoiement résonna étrangement à mes oreilles : elle m'avait vouvoyé depuis le début de notre entretien, ce qui m'avait paru sécurisant, comme une marque de considération. Maintenant que j'étais nu, mon corps offert à ses regards dans toute son intimité, le respect se justifiait moins. Je devenais un autre homme à ses yeux, peut-être même déjà un objet...

"Parfait. Tourne sur toi-même. Bien. Hummm, pas mal. Ca devrait aller... Approche."

Je m'approchai, rouge de honte. Je me faisais l'impression d'une bête de concours agricole, pire encore, d'un esclave, d'une vulgaire marchandise. Je ressentais pourtant une étrange excitation à me trouver ainsi nu devant une jolie femme habillée et mon plaisir pouvait aisément se vérifier...

"Oh, mais ça à l'air de te plaire ?" Elle tendit la main et recueillit du bout du doigt une goutte de liquide séminal qui perlait au bout de mon gland. Elle s'essuya les doigts en les frottant entre eux puis, toujours souriante, m'indiqua le sol de son index tendu "Au pied."

m o r t ifié, j'obéis et m'agenouillai docilement à ses pieds. Son calme et sa détermination me fascinaient littéralement. Jamais aucune femme n'avait osé me traiter ainsi...

"Bien bien bien... Ok, il faudra trouver un moyen de dissimuler ces fuites intempestives... Bon. Comme je t'ai expliqué, j'envisage de proposer à certaines de mes clientes un service très particulier, dont j'imagine qu'elles ont très envie mais qu'elles n'ont pratiquement aucune chance d'obtenir actuellement. Vois-tu, mes clientes ont le plus souvent des journées harassantes. Réunions, embouteillages, kilomètres parcourus dans les magasins, que sais-je encore... Certaines apprécieraient un massage. J'étudie le problème, mais la place est chère. D'autres voudraient simplement s'offrir un moment de relaxation. Un salon douillet, de la musique, des magazines. Un espace protégé pour se détendre, au calme, loin de la cohue parisienne... J'ai pensé qu'un serviteur compléterait parfaitement ce tableau... Un jeune homme docile, à moitié nu, prêt à prodiguer les caresses et attentions dont toute femme raffole...

Quelle sensation plus agréable que celle de s'installer confortablement dans un fauteuil profond, de se faire retirer ses chaussures par un serviteur discret et de se laisser paresseusement masser les pieds par ses mains expertes ? N'est-ce pas là un traitement réservé à une princesse ? Mais mieux encore, pourquoi ne pas ordonner à ce serviteur si soumis de faire ce qu'une princesse elle-même n'oserait pas réclamer ? Pourquoi ne lécherait-il pas ces pieds qu'il caresse avec tant de dévouement... Oui, c'est à ça que je pense, un homme-esclave capable de prodiguer ce type de caresses et capable de faire ressentir à la femme qui l'utilise un délicieux sentiment de plaisir et de puissance..."

Cette fois-ci, les choses étaient très claires. Laetitia me regardait avec un regard de prédateur gourmand, balançant négligemment son pied chaussé d'un escarpin à bride au niveau de mon ventre...

"Qu'en dis-tu ?"

Evidemment, j'acceptai. Laetitia décida naturellement qu'elle devait d'abord tester mes capacités. Elle me fit retirer ses chaussures et le test commença. Nonchalamment, elle tendit un pied nu vers mon visage et m'ordonna de lui montrer à quel point je désirais la servir. Je commençai par respirer l'odeur intense de son pied, puis progressivement, comme enivré par cette senteur puissante, je me mis à embrasser la plante du pied, puis le dessous de ses orteils.

Ce fut le prélude à une longue, très longue série de baisers qui me permirent de savourer la douceur démoniaque de sa peau délicate de l'extrême bout de chacun des orteils jusqu'au surplomb de la cheville. Elle réclama ensuite un massage, ce que je fis avec un soin extrême, ayant toujours soin d'entrecouper les caresses par des baisers très légers qui la faisaient frissonner d'aise. Le léchage vint ensuite tout naturellement accompagné de diverses caresses prodiguées avec la langue entre et autour des orteils.

Mon appétit pour ses pieds était tel que je me surpris à rechercher goulûment la moindre petite poussière, la plus petite trace de saleté susceptible de souiller ses pieds divins et à m'en repaître comme s'il se fut agi du plus fin des nectars. Laetitia apprécia semble-t-il grandement mes attentions, mais ne m'en récompensa pas particulièrement : il devait être clair que je n'étais là que pour pourvoir aux désirs et exigences de ma maîtresse et que je n'avais rien à attendre d'autre que l'honneur qui m'était accordé de pouvoir poser ma langue sur la peau satinée de ses pieds.


Laetitia m'utilise encore très régulièrement, en fonction de l'activité du salon. Je prend mes fonctions à la fin de la journée, car je travaille par ailleurs. Je passe également tous mes samedis à l'institut. C'est amusant de penser à cette juxtaposition de fonctions. Mais mon activité d'esclave de pieds ne m'enrichit pas. Laetitia facture mes services au prix fort pourtant, mais elle me traite en esclave et un esclave ne perçoit pas de salaire. Les pourboires sont également expressément interdits.

Au début confidentielle, l'activité particulière du salon a connu un certain succès, uniquement par l'effet du bouche à oreille. Des femmes importantes me confient régulièrement leurs pieds pour que je les vénère comme ils le méritent. Au début, je m'occupais surtout de femmes mures plutôt autoritaires qui exigeaient mes services en complément des soins de beauté qui leur avaient été prodigués par les esthéticiennes. J'eus ainsi l'occasion d'apprécier en connaisseur la qualité du travail de mes deux collègues, Tatyana et Karen. Les pieds que ces femmes offraient à ma langue soumise étaient tout simplement magnifiques. Peu à peu, la clientèle a évolué et des femmes plus jeunes m'ont utilisé pour leur plaisir. Il m'arrive même maintenant de m'occuper des pieds d'étudiantes venues d'abord par jeu, presqu'incrédules, et qui reviennent ensuite avec des exigences très précises. Leurs pieds ne sont pas aussi soignés et sont parfois même plutôt sales, mais pourquoi s'en inquièteraient-elles ? Ne suis-je pas là pour lécher les pieds ? Certaines femmes me traitent durement, mais je n'ai jamais eu de véritables problèmes, un certain énervement en fin de journée est tout à fait compréhensible. Les clientes sont le plus souvent des habituées et elles savent exactement ce qu'elles veulent. Mais jeunes ou plus mûres, belles ou moins belles, elles me considèrent pour la plupart comme un esclave et n'en ressentent aucune gêne. Leurs ordres doivent être obéis, leurs envies devancées. Au moins deux femmes ont été brutales avec moi. Je reçois parfois des gifles ou des coups de pieds.

Laetitia n'interdit pas que l'on me m a l t r a i t e . Elle se contente de facturer un supplément pour cela. Ce n'est heureusement pas trop fréquent. Je me suis spécialisé dans les bains de pied au lait, une idée dont je suis fier. Je trouve que le lait est le liquide idéal pour baigner les pieds d'une femme. D'abord ma langue pour délasser les pieds fatigués, les orteils échauffés par la marche et l'étroitesse des chaussures. C'est à moi que revient la mission de débarrasser les pieds de la transpiration qui les irrite, de les nettoyer superficiellement. Ensuite, je verse du lait tiède dans une bassine en cuivre offrant ainsi un bain d'une pureté virginale. J'ajoute parfois de la fleur d'oranger...

Je procède ensuite au massage, puis au léchage complet. Certaines femmes m'ont ordonné de boire le lait qui avait servi à leur laver les pieds. Elles avaient les yeux brillants d'excitation en me voyant faire. Mais je le fais toujours par plaisir personnel après le départ de la cliente... Une femme d'affaires très autoritaire a apporté sa touche personnelle à cette pratique et exige des bains de pieds au champagne. L'idée me plaît aussi, mais heureusement, elle ne m'oblige pas à boire tout le contenu de la bassine... Le samedi est la journée la plus difficile, ma disponibilité doit être totale. La clientèle est très différente : moins de femmes qui travaillent, plus de jeunes femmes, souvent sportives. Mais les exigences restent les mêmes.

C'est ainsi qu'en l'espace de quelques mois, j'ai rattrapé tout le retard accumulé durant les trente-quatre premières années de mon existence lorsque je me demandais si je rencontrerais un jour une femme qui apprécie mes penchants fétichistes. Je sais maintenant qu'elles sont plus nombreuses que je ne l'imaginais et que c'est vraisemblablement la timidité ou le manque d'information qui les empêche d'assouvir leurs envies. Peut-être un jour finirai-je par rencontrer celle qui voudra me garder pour elle seule. Il m'arrive parfois de rêver que Laetitia pourrait être cette femme, mais cela, seul l'avenir le dira.

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